La couverture
« Tressés pour ne jamais plus se lâcher,
comme pour soutenir le lien qui devra nous unir à présent.
Le corps du mort se déchire comme un tissu, s’effiloche et se plie. »
Ma couverture, ornée de motifs inspirés de pagnes africains, protège et emprisonne.
Détendue et posée à plat contre le sol comme un territoire sacré, j’active, par sa déchirure en lambeaux, un rituel de transmission.
Objet performé, tissu lin et coton imprimé à l’acrylique, 280 x 450 cm, 2018